12 mars 2008

Fiente

Vittore Carpaccio

Voici que je contemple les cieux ouverts...

... quand un pigeon osa me chier dessus !

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Dur retour des choses...ne perdait pas la vue !

Anonyme a dit…

Juste un gros "HAHAHAHAHAHAHAHAA"[rire sardonique!]

Anonyme a dit…

c'est le traumatisme parisien qui ressort à grande vitesse...